Le monde célèbre célèbre ce 03 mai, la journée de la liberté de presse, une occasion pour l’Union de la presse du Congo, UNPC, section KATANGA, de faire un état des lieux sur les avancées de cette liberté garantie pour chaque journaliste.
L’union nationale de la presse du Congo UNPC, section KATANGA, se base sur le rapport par journaliste en danger , JED, qui relève qui a musèlement de la presse, arrestation des journalistes ; des journalistes travaillent en clandestinité , nous sentons que cette liberté n’est pas totalement accordé et ça donne un tableau sombre…, affirme Junior NDALA Dibala, vice-président de l’UNPC KATANGA.
L’UNPC entant que structure , organisation d’auto régulation, ne cesse de sensibiliser au professionnalisme , en ce jour, nous sommes en mâtiné de réflexion déontologique, pour pouvoir réfléchir sur notre propre liberté , on se pose la question est-ce que cette liberté existe? Poursuit le vice président de l’Union nation de la presse en province
Il est temps de revendiquer cette liberté, en réalité la liberté ne s’accorde pas la liberté s’arrache. Et cette Liberté a un prix , lorsque vous êtes professionnels , vous allez travailler en toute indépendance, renchérit, Junior NDALA Dibala, vice président de l’UNPC KATANGA et enseignant en journalisme.
Le 3 mai a été proclamé Journée mondiale de la liberté de la presse par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993, suivant la recommandation adoptée lors de la vingt-sixième session de la conférence générale de l’UNESCO en 1991. Ce fut également une réponse à l’appel de journalistes africains qui, en 1991, ont proclamé la Déclaration de Windhoek sur le pluralisme et l’indépendance des médias.