Les militants de l’union pour la démocratie et le progrès social UDPS, branche force du progrès, parti présidentiel, ont revendiqué ce lundi 5 Août au commissariat provincial de la Police de Kinshasa où se tient le procès en flagrance des leurs membres, la libération sans condition aucune de leurs camarades arrêtés parmi les 65 présumés auteurs d’actes de vandalisme d’un immeuble à conflit, voisin de l’une des résidences de l’ancien président Joseph Kabila, dans la commune de Gombe, au Nord de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.
« Nous demandons une liberté sans condition de nos militants, ils sont tous innocents, nous n’accepterons pas cette injustice et ce complot », s’est exprimé un militant de l’UDPS présent sur le lieu au micro de L’ACP.
Prise en charge par le tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe, cette affaire de la force du Progrès indigne toutes les couches ou les classes politiques congolaises départ les menaces qu’ils ont proférés à l’endroit du commissaire général de la police en charge de la ville province de Kinshasa.