L’ancien président de la république, Jacob Zuma ne pourra plus participer aux élections législatives , a annoncé jeudi dernier la commission électorale.
condamné à 15 mois de prison pour avoir défié un ordre de la Cour de se présenter devant une commission judiciaire qui enquêtait sur des allégations de corruption durant sa présidence de 2009 à 2018. Il a bénéficié d’une libération conditionnelle pour raisons médicales au bout de deux mois et a été autorisé à purger le reste de sa peine en résidence surveillée.
La Constitution sud-africaine interdit aux personnes reconnues coupables et condamnées à plus de 12 mois
d’emprisonnement, sans possibilité d’amende, d’exercer une fonction publique.
En tête des listes du nouveau parti, Umkhonto WE sizwe, Zuma, 81 ans, a jusqu’au mardi 2 avril pour faire appel de la décision de la commission électorale.